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Interview: Ghislain-Mollet-Vieville

FRENCH

RETRANSCRITION LIBRE :
Ghislain-Mollet-Vieville expert en art conceptuel et Laurent Mazar
RENCONTRE FILMEE, JUILLET 2008 PARIS-PREMIERE PARTIE

GHISLAIN :
Laurent, je te connais depuis une vingtaine d’années… j’imagine…

MAZAR :
Plus? Tu sais j’aimais aller dans les galeries vers 12 ans avec mon père…

GHISLAIN:
Je t’ai rencontré avec ton père Roger qui s’intéressait à l’art minimal et conceptuel. Je me souviens d’ailleurs de conversations à propos de Robert Ryman. Je te connaissais en tant qu’amateur d’art.

MAZAR :
Oui c’est vrai, je me souviens t’avoir acheté une édition Rayman, un cercle blanc, d’ailleurs il m’inspire, je viens de le voir à N.Y. City dans son atelier en construction

GHISLAIN :
Je te retrouve maintenant en tant qu’artiste.

MAZAR :
C’est aussi ce que dit LaWrence Weiner ça me rassure, vous êtes au moins deux !

GHISLAIN :
Est-ce que tu peux me parler des origines de cette « vocation » ? Je pense qu’elle a trouvé ses sources au sein de ta famille et en particulier dans les discussions que tu as dû avoir avec ton père qui était un grand amateur d’art très connu et qui fut un véritable pionnier.

MAZAR:
C’est vrai que c’est un grand plaisir d’être avec toi ! J’ai l’impression de retrouver un peu une famille, l’univers que j’ai connu et qui se perpétue, puisque tu as une passion comme mon père pour des choses très pures.

GHISLAIN:
Et toi Laurent?

MAZAR:
Moi, tu vois, je suis comme entre deux chaises, dans la « pureté» et dans le «bordel » ! Dans l’art conceptuel des années 7O et la vie …J’ai commencé par le théâtre avec mes premières amours - le patinage sur glace –puis l’expression « corporelle », le “Théâtre” de Peter Brook...

GHISLAIN:
Tu prenais des cours de théâtre et tu as souhaité même être « acteur ».

MAZAR : C’est vrai, j'ai fait du théâtre, du cinéma, j'ai joué dans la mise en scène de Peter Brook (deux ans de tournée « l’os ») puis avec Claude Confortes, j’ai joué dans des films de Arthur Joffée, Patrice Leconte... Plein de petites choses, mais des grandes rencontres comme avec James Ivory, Robert Altman…puis Gerzy Grotowski. Puis j’ai dirigé mes propres histoires en cinémascope.

GHISLAIN :
Des rencontres qui peuvent avoir un lien avec ce que tu développes aujourd'hui.

MAZAR:
J’étais en plein dans l’art conceptuel avec mon père, mais c’était à l’époque des DÉCOUVREURS : mon père, toi, quelques rares amateurs.
J’ai fait un stage chez Yvon Lambert. J’avais 23 ans, effectivement il y avait 2 –3 clients par jour dans la galerie avec la sculpture, je crois « Grassello » de BEUYS ?…Tu vois la pièce ? C était une grosse pierre à HUILE d’OLIVE , par la suite sa galerie Italienne exposa la pièce de Beuys en rajoutant une idée lucrative ! Tremper un papier dans la pierre à huile d'olive !
Et je me suis dit : si c'est ça l’ambiance ! Alors là, c’est pas pour moi ! Je suis parti vers le théâtre. Et maintenant j’y retourne au bout de tant d’années. Notamment suite à ma récente rencontre surprise avec Peter Brook devant mon labo photos. Je pose la question sur l’Art en tant que lien: ARTASLINK!?

GHISLAIN :
La relation entre les gens devient... une oeuvre d’art !?

MAZAR :
C’est surtout la relation entre les gens qui sont passionnés d’art pur. Qui sont un peu « fous tellement ils aiment ça ! Et les oeuvres-photos que je fais sont une trace « souvenir ». Mon père avait tout gardé, toutes les invitations… Comme l’empreinte pure et dure d’une histoire, toutes les lettres, les cartes postales… Il était heureux dans ça ! Il ressentait la bascule de l’histoire de l’art qui se jouait là.

GHISLAIN:
Alors on va y revenir. Ce que je voudrais mettre en avant, c’est que dans les années 70 l’art se devait d’être épuré. Un peu ennuyeux sur le plan formel, avec cet aspect rébarbatif que tu avais trouvé pour cette exposition chez Lambert à cette époque. Mais depuis, les choses ont évolué.
Peut-être as- tu trouvé le moyen d’être aussi sérieux dans l’art qu’à l’époque des années 60-70, tout en l’adaptant à une société qui a évolué ; il est moins nécessaire aujourd’hui d’épurer l’oeuvre d’art telle qu’on l’avait imaginée dans les années 60-70. Donc, ta façon à toi de rester pur c’est peut-être justement d’établir les relations entre les choses, les artistes, ta propre vie, associées à une expression de la vie qui fait que pour toi l’art peut être festif. On peut parler des choses sérieusement en n’étant pas pour autant ennuyeux. Ça peut se passer dans une boîte de nuit, dans les rues, dans un couloir d’aéroport à Roissy, dans un restaurant – il n’y a pas de limites à la présentation de l’art tel que je te sens vouloir la développer.

MAZAR :
Ça me fait très plaisir que tu comprennes ce que je veux faire !

MAZAR:
Mon père me disait : C’est très simple, quand « c’est dur, ça dure »! –D’un autre côté, il aimait le contact humain, le lien ! Contact avec des artistes DURS!
Cela pouvait être avec de très grands amis artistes comme Buren, Toroni, dans son restaurant Chez Georges ou bien avec sa boulangère et son représentant en vins. Enfin beaucoup plus fascinés avec Buren et les Américains qui venaient par surprise dîner. Buren et sa femme avec Sol LeWitt, Judd, Carl Andre…
Mon père aimait la relation avec les gens qui venaient déjeuner dans son restaurant.

GHISLAIN :
Je suis sûr qui il aimait parler de choses complètement abstraites et pures ou bien complètement anodines.

MAZAR:
As-tu un souvenir à me raconter?

MAZAR:
Moi je me rappelle le soir ou Sol LeWitt a dessiné sur les nappes du restaurant son projet nouveau « Incomplete open cube ». Papa a tout de suite compris lequel il aurait fallu acheter , s’il avait eu les moyens mais il fallait choisir. Mon père aimait trancher devant ses clients au restaurant Georges, tranchant très bien les gigots (8,5 portions par Gigot), fallait en trancher des Gigots pour se payer le cube de ses rêves ! Ghislain, peux- tu nous en parler des ces cubes, je crois que tu en as ?

GHISLAIN :
Les "Incomplete Open Cubes" sont constitués d'entités qui sont à considérer chacune en relation avec toutes les autres possibilités de cubes incomplets (il y en a 122 ) .On les relie mentalement toutes entre elles, ce qui nous oblige à une redéfinition de notre expérience de la sculpture, car cela conduit le regard au-delà de l'oeuvre/objet et nous oblige à une exploration mentale plus que visuelle. Il y a donc un lien que nous sommes invités à tisser entre tous ces «Incomplete Open Cubes».

MAZAR :
Moi, j’essaie de faire le lien entre tous ces gens qui comme moi aiment bien vivre, bien manger, parler d’abstraction d’ idées….Collectionner des cubes …Des cubes incomplets ! J’ai pas de cube, mais j’ai un dessin incomplet de pyramide rapporté de Rome.

GISLAIN:
Peut-être que l’on pourrait préciser que ARTASLINK à pour traduction en français : “ART COMME LIEN”. Cela met l’accent sur l’importance du lien que tu tisses entre les êtres et les oeuvres – Tu fais tout cela au titre de l’art.

MAZAR:
C’ est ce que tu ressens !

GHISLAIN:
Ton attitude est très différente de la pratique de notre société qui ne veut voir en”art”que des «objets d’art». Des objets d’art pour lesquels le marché s’est octroyé le monopole des critères esthétiques : plus une oeuvre est chère plus elle a des chances d’être ressentie comme un chef d’œuvre. Alors qu’avec toi il me semble que le but n’est pas de créer de la surenchère artificielle de valeurs mais plutôt de multiplier les rencontres et les confrontations positives.

MAZAR :
Vrai c’est fou ! C’est du rêve !

GHISLAIN:
En privilégiant LE LIEN, tu conserves le principe de créer des œuvres, mais elles vont échapper aux critères imposés par un marché de l’art qui a besoin d’objets sacralisables. Il ne me semble pas que tu opères dans ce but en priorité.

MAZAR :
Ça nous ouvre le possible, ça ouvre la relation comme oeuvre?

GHISLAIN:
Tout cela n’est pas contradictoire avec le fait que tu continues à pouvoir être rémunéré pour les œuvres que tu produis.

MAZAR :
D’un côté je peux produire des grands tirages de mes photos, des photos du « VISIBLE»: la nature Russe, l’espace vide . Pour Artaslink, des photos des évènements (soirée, vernissages). Parfois des photos à la limite du visible dans les espaces glacés de Russie.

MAZAR : D’un autre côté, à partir de mes tirages, je développe des certificats pour s’amuser et fixer “ l’instant”: meeting, sexe, discussion, photo, rencontre, party…

GHISLAIN :
Les divers documents que tu proposes ainsi, forment un ensemble qui permet de comprendre ta démarche dans sa genèse et dans ses aboutissements formels.

MAZAR :
Il y a des photos des rencontres avec les artistes qui font le lien conceptuel dans ma tête avec l’art que je connais. Dans la genèse, l’idée même de photographier ou filmer quelqu’un ou quelque chose c’est de créer un lien avec lui. Mais ce qui m’intéresse c’est le lien avec le travail de l’artiste pas son visage.
J’en arrive à accrocher des tableaux non peints ou je les donne… je filme la relation.

GHISLAIN:
De ce point de vue que penses-tu des Achromes de Manzoni ?

MAZAR:
Manzoni j’ ai un lien en rêve avec lui, j ai une ligne de lui de 17,5 mètres, j ai rencontré son
fameux couple de marchands Italiens. C’est magnifique son rapport avec le vide.

MAZAR:
Je peux me critiquer en disant que c’est très romantique tout ça !
C’est du romantisme radical. Car mes photos sont mécaniques; un clic, un flash ! La photo, je la cherche nette. C’est une relation brute, précise, avec des gens/objets avec qui j’ai souvent de l’affectif, de l’admiration.
….
Mon père avait nommé sa chatte IROKO comme la femme d’On Kawara qu’il admirait pour sa délicatesse. Roger Mazarguil était heureux de recevoir les On Kawara Chez Georges. Et si joyeux de la surprise de recevoir des cartes postales en cadeaux d’On Kawara ! Quant Michelle Didier a numérisée ses cartes postales pour le livre : “ I GOT UP “:j’ai compris qu’On Kawara n’a pas choisi Roger par hasard !

J’ai aussi un lien fort avec la nature, les oiseaux du golfe de Finlande dans ma série de photos FLY/NOT FLY.

GHISLAIN :
Dans ton dos, il y a écrit quelque chose aujourd‘hui ?

Laurent MAZAR se tourne-on voit un MOT en or sur sa chemise

GHISLAIN :
Tu as l’inscription …DISPLACED !

MAZAR : `
C’est le mot que mon père a dessiné au mur avec le pochoir fabriqué par son ami LaWrence Weiner envoyé par lui de N.Y. (Roger Mazarguil savait peindre avec de l’huile des toiles classiques). …Le mot DISPLACED vient d’être reproduit au MOCA de Los Angeles …- Il y a pas mal d’histoires sympas dessus…

GHISLAIN:
Les œuvres d’art ne doivent pas êtres dissociés de leur contexte social, idéologique, voir psychologique pour certaines d’entre elles. Tout doit être relié et c’est justement ce qui est au cœur de ton propos.

MAZAR :
Oui c’est ça ! Ma tour Eiffel en noir et blanc dans le ciel, rejoint le dessin des lignes en 4 directions de Sol leWitt 1969 et est en référence à Sol

LeWitt et à mon père. À leur lien artistique et amical durant toute leur vie.
J'ai été assistant de Sol en 1986… LeWitt était un homme magique généreux,
Mon père et moi on espérait pour lui un grand succès, c’est le cas, mais ça a mis longtemps pour parvenir aux oreilles du marché comme pour LaWrence Weiner.

GHISLAIN :
Peux-tu nous rappeler à quoi correspondait « DISPLACED » cette œuvre de LaWrence Weiner de 1969 ? Et comment ce mot a marqué ta problématique aujourd’hui?
Ton père m’a raconté qu’il avait une relation très amicale avec Lawrence Weiner, si bien qu’un jour ce dernier lui avait demandé de lui financer son voyage à N.Y. City

MAZAR:
Pour retrouver sa fille à N. Y. qui devait avoir 6 mois…

GHISLAIN :
En échange, Lawrence a dit à ton père qu’il lui apporterait une oeuvre. Et c’est justement l’œuvre « DISPLACED » que ton père a reçu, une œuvre qui n’était pas un objet mais un déplacement que Lawrence avait pu réaliser grâce à lui. Je trouvais cet échange formidable !

MAZAR :
Moi je me suis déplacé de Paris à N.Y.City l’année dernière (Décembre 2007) pour voir Sol LeWitt qui était trop malade. J’ai eu le plaisir de voir LaWrence Weiner, il m’a accueilli à bras ouverts. Chaleureux et fort du lien amical avec notre famille qui l’avait aidé à ses débuts. L. W. m’a raconté sa version de l’histoire du mot Displaced…il m’a parlé de Daniel Buren comme origine de la rencontre avec Roger Mazarguil.
Je lui ai demandé si il avait proposé le choix à Roger Mazarguil entre le mot DISPLACED ou le mot DIRTED, d ‘après Jeanine Mazarguil ça c’est passé comme ça dans le restaurant.
LaWrence à sourit et m’a dit qu’il aimait toutes les histoires sur son mot.
….
Daniel Buren était le lien avec Lawrence, il les avait présentés…, “Ils étaient devenus de vrais amis avec Roger !” ,Lawrence m’a dit « tu es comme mon neveu » , j’ai regardé son atelier, son matériel c’est les mots , j étais impressionné. All you see ! You can photo ! TAKE PHOTOS ! EVERYTHING YOU WANT ! Il m’a montré un livre qu’il avait fait pour s’amuser qui pourrait m’aider avec des flèches.
Lawrence ma dédicacé “At the moment of Link”.

GHISLAIN :
J’ai trouvé que les photos que tu fais accompagnent très bien les documents que tu nous proposes de signer. Que tu donnes généreusement et gratuitement. Attendons la suite des événements!

MAZAR:
C’est du travail de toute une équipe, (Graphiste, attaché de presse, retoucheur, imprimeur…) j’aimerais bien les récompenser.

GHISLAIN:
Ces documents mettent bien l’accent sur le fait que tel jour, il s’est passé une communication avec telle personne. Alors, comment te situes-tu par rapport à la discussion que tu as pu avoir avec Ian Wilson ? Je pense que tu ajoutes beaucoup d’éléments à la proposition de Ian Wilson qui fait de ses discussions des oeuvres d’art…
Lui, garde une position de “philosophe”, avec des propos très abstraits, difficile à suivre, alors que toi, tu places la relation sur le plan amical, affectif, festif…C’est là où l’on voit bien la différence entre la génération conceptuelle des années 60-70 et ta génération à toi. Il s'agira toujours de lien, mais l’austérité n’est plus de mise.

MAZAR :
Vider… se remplir du rien…Ou du lien !
Tu avais édité un beau livre d’Ian Wilson, tu m‘as mis en contact avec Chantal KLEINMEULMAN. qui prépare le catalogue raisonné Ian Wilson. Elle vient de me confirmer une date ! Moi aussi j’ai eu une discussion avec lui en mai 1976 dans le car qui me menait aux expositions de Daniel Buren en Belgique; la discussion était très pure, j’étais fasciné par son sujet : connaître l’inconnu pour un ado c’étais super ! J’ai évolué entre la philosophie et les lumières de la danse sur glace, j aime la danse, les mimes, les jeux ; pendant « Artaslink évents » ça bouge !

GHISLAIN:
Ce que je constate, c’est que tes œuvres sont associées à des moments de ta vie, qui eux-mêmes sont associés à des rapports à la culture, à l’art, à la société… Le fait est que l’on peut trouver beaucoup d intérêt à observer notre société , cela fait parti de ARTASLINK.

MAZAR :
J’observe, je photographie, je filme, je montre, j’interviens/j’interview et je projette des images sur le public….Je rebondis …Ce sont des mois de préparation, une soirée ARTASLINK.

GHISLAIN:
Et tout cela alimente la production d’œuvres à venir .

MAZAR :
Il y a tant de façons de présenter une œuvre comme nous le montre Daniel Buren ! C’est vrai que nous pouvons nous auto-limiter si on veut être dans le système Musée/Galerie. Si tu es dans le musée – t’es dans le musée, (contrôlé par le musée), si tu es dans la galerie – tu es contrôlé par la galerie. Ça relève du contrôle de l’institution qui ne laisse rien traîner, il n’y a pas de place pour un “graffiti” sur les murs blancs aspetisés des musées. J’en ai fait l’expérience.

MAZAR :
On peut rendre un hommage à Cadére, il a souvent croisé mon père et moi, je crois que il y avait une œuvre présentée au MOMA qui vient de chez toi.. …En ce moment je me balade, filme et filme pour ARTCHANNEL en Russie. Dans mon sac, mon tableau rouge depuis la foire de Paris (Paris – Moscou). Je m’ amuse, il y a tellement de choses à faire avec un tableau à part le mettre au mur. J’ai tourné plein de petits clips la-
dessus à Moscou pendant la foire 2008;
Il y a quelques mois au formidable musée du MOMA. à N.Y City, même dans la rue devant le musée ils te chassent. C’est pas les directeurs, c’est les règles du système avec les gardiens partout. Toi t’es bon qu’ à regarder. A Beaubourg en France pareil, mais ils sont cool à l’extérieur. Dans le musée ton seul lieu de liberté ton tee-shirt, ta chemise, ton sac transparent…toi …ta parole, tes contactes, tes photos vidéo « in situ » .

CHANTAL KLEINMEULMAN Research catalogue raisonné Ian Wilson :
« Hello Laurent,thank you very much for your information of the context of Wilson's first visit to the Van Abbemuseum! It was in 1976, and indeed it was at the same time with the 3 simultaneousexhibitions of Buren in Holland ( all started on the 30th of april 1976 :
Van Abemuseum in Eindhoven, Stedelijk Museum in Amsterdam,
Kröller-Müller Museum in Otterlo). That Wilson came with Buren and your family by bus to visit the exhibitions gives more context to the visit.
(D après les recherches, Yan à fait le voyage à partir de la Belgique vers les musées).
Extrait de “ My letter a Chantal “ reproduit dans le catalogue ».
« We had time to speak in the back of the BUS , I had a
deep conversation with Yan W. about UNKNOW IS KNOWN AS UNKMOW therfore the UNKNOWN is BOTH KNOWN and I remember it like real moment, he was speaking in a true way, at the end I really believe in what he said " important for me that he was telling it with all his art . I was à good young audience he makes me dream that we know everything…we have just forget it like Platon say »s.
….

L'ART COM. LIEN /ARTASLINK

MAZAR

L'auteur
Baigné dès son plus jeune âge dans le monde de l'art contemporain avec son père Roger Mazarguil, célèbre collectionneur et mécène de nombreux artistes dont Daniel Buren, Sol LeWitt, LaWrence Weiner, Mazar se passionne très tôt pour les images. Il assiste Sol LeWitt lors de ses premières expos (Centre Pompidou, galerie Yvon Lambert...).
Il aime les images qu'il collectionne et qu'il crée. Aujourd'hui, entre Paris-NYC-St Petersbourg, il expose ses photos et projette ses vidéos dans des lieux prestigieux.
Photographe conceptuel, Laurent Mazar désire transmettre à travers ses photos et ses vidéos son lien avec des artistes célèbres contemporains.
IL va proposer pour la première sa nouvelle série :
LES DIALOGUES :L’ ART COMME LIEN PARIS 1968-2009

www.artaslink.fr /www.artcomlien.fr : Pour les « Art Lovers » du monde entier.

 
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